Le saint Hubert de DAMERY (51)
Sommaire :
-Un saint contre la rage
-La légende
-Hubert personnage du Haut Moyen Age
-Un patron des chasseurs précède Hubert
-Le saint Hubert de Damery
Un saint contre la rage
Dès l'origine de son culte, Hubert est invoqué pour conjurer le terrible fléau de la rage que la médecine ne sait guérir, même de nos jours encore. (la vaccination très efficace n'offre qu'une protection, une fois contractée la maladie conduit à la mort).
En cette époque reculée du VIIe siècle la forêt occupe une majeure partie du territoire de l'Ardenne.
Les nobles s'adonnent à leur passe temps favori : la chasse. Le gibier y est abondant, mais véhicule avec lui le fléau redouté de la rage. Il se transmet aux humains, ici, peut-être plus qu'ailleurs ! A défaut de remèdes, les populations, pour se prémunir, s'en remettent aux pouvoirs des thaumaturges. Hubert, personnage emblématique de l'Ardenne du haut moyen-âge devient le saint protecteur contre la rage (et guérisseur selon certains témoignages) .
La légende
La légende de saint Hubert, née tardivement, traite d'un sujet différent. Elle viendra supplanter une autre légende dont elle n'est que le plagiat.
Le seigneur Hubert (né vers 656/658 -mort en 727) cultivait donc une grande passion pour la chasse.
Ainsi, le jour d'un certain vendredi saint, celui de l'année 676, - pour d'autres narrateurs la Noël 699 - (dans un récit légendaire la date importe peu, seule compte la circonstance) le jeune noble se trouve face à un cerf dix-cors, au pelage blanc, qu'il poursuit avec sa meute de chiens. Tombé de cheval, ses chiens couchés à ses pieds, Hubert aperçoit alors une croix lumineuse qui brille entre les bois du cerf. A l'instar de cette vision aveuglante, une voix lui fait le reproche de chasser un jour saint et de s'adonner beaucoup trop à une passion au détriment de son âme. La voix l'invite à se rendre auprès de l'évêque Lambert. Pris de remords, Hubert vient donc confier à l'évêque son désir de conversion. Mais le saint homme lui rappelle qu'il est marié et que sa passion pour la chasse n'est guère compatible avec une entrée dans les ordres.
Au cours de ces 5 ou 6 derniers siècles, la légende s'est immortalisée dans une représentation iconographique ciblant les sculptures bas et haut relief, les tableaux peints, les vitraux, les imageries etc...
Qu'y voit-on ? Saint Hubert descendu de son cheval, se jette à genoux face au cerf porteur du crucifix entre ses bois. Les chiens sont couchés à ses pieds. Parfois un second personnage reste à cheval en arrière plan. Plus rarement vient s'ajouter un ange placé en haut de la scène, il brandit l'étole en préfiguration de la fonction épiscopale qui suit.
Cette scène décore un autel secondaire de l'église de Tagnon (Ardennes). Les magnifiques boiseries portent la signature des frères Aubry de Gespunsart qui ont œuvré ici au XIXe siècle.
voir : TAGNON : sa foisonnante église Saint-Pierre
Dans l'Aube, le haut relief du retable de l'église paroissiale d'Auxon est sculpté dans un beau calcaire. Le même sujet est traité de façon complète : tous les éléments de la légende y sont incorporés.
Photo issue du site : pop.culture.gouv.fr - Notice Palissy PM 10000068
Basilique SAINT-HUBERT : haut dossier d'une stalle
Hubert personnage du Haut Moyen Age
Les épisodes de la vie d'Hubert sont connus par les Vitæ.
Au fil des siècles les versions se sont enrichies d'ajouts merveilleux qui en font parfois des récits de légende véhiculés par la tradition orale.
Le premier texte aurait été rédigé en 743 lors du premier transfert des reliques du saint.
Jonas, évêque d'Orléans modifie le récit à l'occasion du second transfert, qui a lieu en 825 au cours duquel les restes du saint sont déposés à Andage, lieu chéri, qui deviendra en Wallonie la ville portant son nom.(1)
Né en Aquitaine, peut-être à Toulouse, entre 656 et 658, Hubert est issu d'une famille noble. Son père, Bertrand, co-duc d'Aquitaine et de Vasconie descend de la lignée de Clovis.
Envoyé par ses parents, le jeune Hubert rejoint la cour de Thierry 1er, roi de Neustrie.
Un différend l'oppose bientôt à Ebroïn, maire du palais au caractère réputé violent et despotique.
Hubert se réfugie en Austrasie chez son parent Pépin II dit de Herstal, maire du palais. Ce dernier essuiera une humiliante défaite face à EbroÏn, son rival, lors d'un affrontement qui eut lieu en 680 à Laffaux (dans l'actuel département de l'Aisne).
Le palais de Pépin se situe à Jupille-sur-Meuse. Aujourd'hui la localité fait partie de la Province de Liège, elle est réputée pour sa bière de la marque Jupiler ! 😋
Basilique SAINT-HUBERT : première stalle côté Epître, Hubert à cheval en costume de seigneur de la cour du roi Thierry de Neustrie (œuvre du menuisier borquin Pierre Martiny et du sculpteur liégeois Jean-François Louis .1733)
nota : borquin = habitant de Saint-Hubert !
Hubert épouse Floribane, la fille du comte de Louvain, dénommé Dagobert. De leur union naît un fils, Floribert futur successeur de son père au siège épiscopal de Liège.
Après le décès de sa femme, Hubert abandonne la vie mondaine et son amour pour la chasse. Il renonce à ses droits au profit de son frère Eudes, pour l'accession à la couronne d'Aquitaine.
Mais ne nous y trompons pas, la voie épiscopale est autrement plus honorifique que celle de gouverneur d'un duché, elle offre un pouvoir d'une tout autre dimension sur les hommes.
Lors de son séjour au palais austrasien, il s'est entretenu régulièrement avec Lambert l'évêque de Tongres-Maastricht. Il l'accompagne au monastère de Stavelot lorsque ce dernier s'y réfugie pour échapper à une conspiration. L'ennemi est un certain Dodon, frère d'Alpaïde, la concubine de Pépin. Le conflit réside précisément autour de cette concubine que Lambert refuse de reconnaître comme une épouse légitime. Lambert restera 7 ans à Stavelot dans le prestigieux monastère bénédictin conduit d'une main de maître par Remacle dans ce lieu de paix, propice à fortifier la foi des résidents.
La situation devenant intenable à Maastricht, Lambert est contraint de transférer son siège épiscopal à Liège, une résidence qui n'est, à l'époque, qu'une petite entité territoriale.
Dodon, gestionnaire des domaines de Pépin, est un personnage important et influant. Avec son équipe il vient assassiner Lambert à Liège.
L'événement connait un fort retentissement dans tout le royaume.
Pour l'anecdote, signalons qu'une face sculptée de la cuve baptismale quadrangulaire de l'église de Montcheutin (Ardennes) illustre le tragique événement.
Voir MONTCHEUTIN : l'iconographie des fonts baptismaux
Hubert se rend à Rome et y rencontre le pape Serge 1er vraisemblablement pour valider sa nomination en remplacement de l'évêque de Liège assassiné. (721)
Le corps de Lambert est tout d'abord inhumé dans l'église de Maastricht, lieu de sa première résidence, puis à l'initiative d'Hubert, est transféré à Liège (720). Pour la circonstance, Hubert fait construire une belle église, celle que les Liégeois fréquentent toujours pour honorer saint Lambert.
Le nouvel évêque exerce son ministère jusqu'à son décès, le 30 mai 727 survenu à Tervuren, banlieue liégeoise.
Inhumé près de l'autel saint Aubin dans l'église collégiale Saint-Pierre de Liège, le corps d'Hubert y séjourne jusqu'en 825. Il y est alors vénéré comme un saint.
A la demande des moines de l'abbaye d'Andage, l'évêque Walcaud de Liège leur transfère les restes de saint Hubert. L'empereur Louis-le-Pieux assiste à la translation solennelle. (30 septembre 825).
Le monastère d'Andage prend le nom de SAINT-HUBERT. Les reliques du saint sont enfermées dans une prestigieuse châsse d'argent, orné d'or et de pierres précieuses.
Commencent alors une longue vénération et un culte qui perdurent de nos jours.
Nombreux sont les édifices chrétiens à posséder une statue ou un vitrail de saint Hubert évêque.
Comme dans les Ardennes.
Saint Hubert évêque en l'église Saint-Pierre-du-Prieuré 08 Novy-Chevrières
photo copiée du site : inventaire-chalons.grandest.fr
Le même dans la basilique SAINT-HUBERT de Belgique
(Photo issue de sa page Facebook)
Un patron des chasseurs précède Hubert
Saint Hubert n'a pas toujours été le patron des chasseurs. Si dès le début de son culte, il est invoqué contre la rage, il est devancé par saint Eustache qui s'impose dans ce rôle dès les premiers siècles. Il est mort en 118.
L'histoire de saint Eustache est purement légendaire. Son récit peut être résumé ainsi : général romain à la tête de la milice de l'empereur Trajan, Placide (Placidus) est grand chasseur de gibier. Une passion qu'il assouvit avec quelques uns de ses compagnons, ses subordonnés.
Un jour, ils aperçoivent un troupeau de cerfs et de biches pâturant dans une clairière. Placide donne l'ordre de forcer les bêtes en désignant à chacun de ses compagnons un animal à poursuivre. Lui choisit le plus beau cerf qui se détache du troupeau et engage la poursuite avec son cheval et ses chiens à travers la forêt. Les compagnons font de même, mais bientôt épuisés par la course, ils tombent de lassitude. Placide, lui, n'éprouve aucune fatigue. Le beau cerf traqué s'arrête enfin sur la cime d'un rocher. Placide voit alors au milieu des cornes du cervidé l'image de la croix, plus resplendissante que la lumière du soleil. Une voix l'invite à sortir de l'idolâtrie, lui, sa femme et ses deux fils et à embrasser la foi des chrétiens.
Le miracle de la conversion s'opère. Un prêtre baptise toute la famille; il donne aux nouveaux chrétiens les noms d'Eustache à Placide, de Théopista à sa femme ; l'aîné des enfants reçoit le nom d' Agapit et l'autre celui de Théopiste.
"Dix jours après, le cerf revient et demande au nouvel Eustache d'être fort et de bien prier car le Diable va se déchaîner contre lui. De fait, Eustache perd progressivement ses troupeaux et tous ses biens. Cherchant à fuir en Égypte, il est capturé par des pirates et vendu comme esclave ; puis suivent une foule d'épreuves dignes de celles que Job endura. Eustache retrouve enfin sa femme et ses fils, mais comme tous refusent de sacrifier aux dieux païens, la famille entière est placée dans un taureau d'airain au-dessus d'un brasier ardent. Un miracle fait qu'ils ne souffrent aucunement et qu'ils montent au ciel en chantant des cantiques d'actions de grâces." (2)
Au fronton de l'église Saint-Eustache à Paris, le cerf crucifère.
Le culte de saint Eustache, patron des chasseurs, est très vivace au Moyen-Age, en France et en Allemagne.
Il décline ensuite à partir de 1480 en raison de la concurrence de saint Hubert, son grand rival dont la propre légende s'enrichit des traits de saint Eustache (3).
Les représentations de saint Hubert peuvent désormais le montrer en tenue de chasseur avec cerf et chiens à ses pieds. Parmi celles-ci, de belles statues attirent le regard dans les églises comme à Warcq (Ardennes) (4)
Eglise paroissiale Saint-Jean-Baptiste de Warcq. - Saint Hubert statue de Franot XVIIIe siècle
ou dans le département voisin de l'Aisne à Parfondeval
Avant le XVe siècle, saint Hubert n'est pas encore le patron des chasseurs, hormis peut-être dans quelques territoires de l'Ardenne où son aura est très prégnante.
Il est absent du récit des saints de La Légende Dorée écrit par le dominicain génois Jacques de Voragine vers 1264, alors que saint Eustache y figure.
Le saint Hubert de Damery
Dans l'église Saint-Georges de Damery (Marne), qui conserve des chapiteaux romans de toute beauté (5), une statue équestre de saint Hubert a été remisée au nord du premier transept.
"Cette statue en bois sculpté provient de la chapelle Saint-Hubert, construite au début du XVIe siècle dans le Faubourg de Damery, vendue et démontée en 1791.
Beaucoup d'objets furent brûlés, mais cette statue fût sauvée par une personne qui l'échangera contre une charge de bois. Cette statue a été rénovée en 2010" (mention relevée dans le livret mis à la disposition du public par Paysages de la Champagne- Office de tourisme- Contact Mairie de Damery).
Des précisions sont apportées sous la plume de Pol Gosset dans un article de l'Académie Nationale de Reims (6):
"Il y avait à Damery, dans la niche d'une façade, une statue du XVIe siècle, en noyer sculpté et peint, mesurant 0,80 centimètres de longueur sur 0,90 de hauteur, qui provenait d'une chapelle du pays, dédiée à saint Hubert et vendue comme bien national à la Révolution. La tradition veut qu'à cette époque elle ait été échangée contre une charge de bois au vandale qui allait la brûler. Elle représente le saint à cheval, tête nue et mains jointes, en extase devant le cerf de la forêt d'Ardenne. La statue n'est pas d'un grand artiste, mais d'un bon artisan, peut-être un artisan local ; elle est intéressante par les détails du costume et des harnais. Son origine indiscutable aurait dû faire d'elle un objet sans prix pour les descendants de la brave femme qui l'avait acquise.
Le 4 décembre dernier, la statue n'était plus à sa place. Aussitôt averti, M. le Curé, qui aimait le saint Hubert d'un amour désintéressé, et qui, en 1918, alors que Damery était menacé, l'avait évacué sur Dijon, se mit à sa recherche ; il apprit qu'il était devenu régulièrement la propriété d'un antiquaire d'Epernay. Sans demander le concours de la commune, ni même de l'Etat, sans perdre de temps, il la racheta et devenu propriétaire à son tour, il rentra assez fier dans sa paroisse avec son saint Hubert qu'il installa dans l'église. Il va le faire classer comme monument historique..."
L'Académie Nationale offrira un prix de trois cents francs au curé, l'abbé Bourgeois, pour le récompenser d'avoir conservé à sa paroisse un objet d'art.
Les statues équestres de saint Hubert sont rares
Mademoiselle Marguerite Dubuisson, (décédée en 1984) conservateur du Musée de Troyes et de la Champagne méridionale, a étudié la légende de saint Hubert et son interprétation (7).
Elle rappelle que le cerf crucifère est une spécificité inhérente à la légende de saint Eustache et que ce n'est qu'à partir de la fin du XVe siècle qu'il sera attribué à saint Hubert.
Le saint ardennais est représenté, soit debout, soit agenouillé, avec son cheval et ses chiens à ses côtés, contrairement à saint Eustache, qui est habituellement représenté à cheval.
Petite statue équestre (XVIe siècle) de Pars-les-Chavanges (Aube) représentant saint Eustache selon Melle Dubuisson. L'œuvre est conservée au musée de Brienne.
Désormais la statue, comme l'église, sont placées sous le vocable de saint Hubert.
La légende de saint Eustache est vulgarisée en Occident dès le Moyen-Âge. Elle figure dans le répertoire roman aux chapiteaux de Vézelay, d'Autun, puis dans le répertoire gothique où elle décore des vitraux.
Ceux de l'église Saint-Pierre de Dreux laissent voir un cavalier galopant sur son cheval, sonnant du cor à la poursuite du cerf, un chien à ses trousses. Le médaillon circulaire daté du XIIIe siècle est désormais conservé au Musée d'Art et d'Histoire de Dreux.
Une scène identique s'observe sur un vitrail de la cathédrale de Chartres où est contée la vie de saint Eustache. (ci-dessous)
D'autres exemples sont à retrouver à Auxerre, Sens, Le Mans etc ...
La cathédrale Saint-Gatien de Tours offre également une scène de chasse dédiée à saint Eustache.
Photo lavieb-aile extraite de l'article documenté du blog de Jean-Yves Cordier : les vitraux du XIIIe siècle de la cathédrale de Tours Baie 214 légende de saint Eustache 25/08/2015
En ce début du XVIe siècle le culte voué à saint Eustache s'estompe. L'image d'un militaire romain ne séduit plus. Dans le vignoble champenois la réputation du saint ardennais gagne du terrain. Les chasseurs, en recherche d'un guide spirituel plus proche, choisissent désormais saint Hubert. C'est l'époque du plein essor des confréries, qui, sous le contrôle ecclésiastique, réunissent des groupes d'individus partageant la même passion ou le même métier.
A Damery en 1520 est fondée la chapelle Saint-Hubert. Son fondateur est peut-être un certain Laurent David, à l'origine d'une autre chapelle voisine, celle d'Arty.
La bâtisse est édifiée en bordure de Marne dans les faubourgs du village, en direction de Cumières.
Pour honorer dignement le nouveau saint patron des chasseurs, l'obligation s'impose à tous de procéder à l'acquisition d'une statue à son effigie. Le concours d'un artisan local est requis. Ce dernier, cherchant un modèle d'inspiration, se tourne immanquablement vers des représentations déjà connues. Saint Eustache chevauchant sa monture s'apparente idéalement au modèle iconographique recherché.
Les codes anciennement appris vont s'appliquer aux nouvelles statues équestres. Le cheval est représenté avec une patte levée pour signifier qu'il est en mouvement. Le cavalier arbore le cor de chasse en rappel de sa mission de protecteur des chasseurs.
Ou, autre hypothèse, comme à Pars-les-Chavanges, la statue de Damery, aurait existé bien avant l'édification de la chapelle, sous le vocable de saint Eustache avant d'être rebaptisée pour la circonstance ?
De ce XVIe siècle subsistent quelques exemplaires épars montrant saint Hubert à cheval dans une attitude rigide à l'image de ces cavaliers romains qui ont servi de modèle pour édifier les statues de saint Georges, saint Martin, saint Julien etc ...
Église Saint-Pierre et Saint-Paul de Neuilly-sur-Suize - Haute-Marne
Pierre polychrome XVIe siècle
Église Saint-Martin à Champlay - Yonne - XVIe siècle
Église Saint-Médard-des-Marats à Les Hauts-de-Chée - Meuse - 1er quart du XVIe siècle
Quelques exemples plus tardifs sont également représentatifs :
Église Saint-Martin de Mont-Villers - 1772 - (rattaché à Bonzée) - Meuse - Pierre polychrome en façade
Église Saint-Etienne Nomeny - Meurthe-et-Moselle
Chaintreaux - Seine-et-Marne
Ranguevaux - Moselle
Saint Hubert fêté le 3 novembre
Saint Eustache fêté le 20 septembre
Bibliographie :
1) La Vita secunda sancti Hueberti de Jonas d'Orléans et sa tradition manuscrite d'Alain Dubreucq dans Revue belge de philologie et d'histoire Tome 96 fasc.1 - 2018. Histoire Geschiedenis pp.365-386.
2) La Bible et les saints. Guide iconographique. Flammarion 1990 Gaston Duchet-Suchaux - Michel Pastoureau page 138.
3) Pour en savoir plus sur saint Eustache télécharger "La vie d'Eustache, épisode des premiers temps du Christianisme" par Christian Schmid sur le site : www.saint-eustache.org/histoire-et-patrimopine/histoire-de-leglise
4) Pour le département des Ardennes consulter l'ouvrage abondamment illustré de feu l'abbé Jean-François Pinard : Saint-Hubert - Le patron de l'Ardenne et des chasseurs - Patrimoine ardennais. 2012-Euromedia- 93 pages
5) L'intéressante architecture de l'église de Damery a fait l'objet d'une étude dans Congrès Archéologique de France 135ème session 1977. Champagne Auteurs : Annick Kischinewski et Lydine Saulnier pp. 490 / 514
Consulter également : Recherches Historiques sur Damery par C. Bourgeois curé de Damery -1905 réédition en 1983 sous l'égide de La Grappe Imprimerie J. Billet Damery.
6) Travaux de l'Académie Nationale de Reims 145ème volume Année 1930 - 1931 p. 59
7) N° 161 de la Vie en Champagne (novembre 1967) A voir le N°43 - juillet 1974 - Saint-Hubert et la rage dans le bulletin trimestriel du Folklore de Champagne édité par la Société des Amateurs de Folklore et Arts champenois (en ligne)
8) Sur les saints équestres : Mythologie Française n° 144 Janv.- Mars 1987
9) La vie de Saint Eustache sur : file:///C:/Users/jlc51/Downloads/Eustache-de-Christophe-Schmid-1883.pdf
Pour une visite de l'église de Damery voir :
file:///C:/Users/jlc51/Downloads/Damery%20visite%20%C3%A9glise%20(1).pdf
@jean-luc.collignon
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