WASIGNY : Faire parler la pierre
Faire parler la pierre
Wasigny " Une cuve datant du XIIe siècle et faisant partie des fonts baptismaux de l'église de Wasigny est en cours de restauration. Un petit bijou pour l'historien d'art"
C'est le chapeau d'un article que publiait le journal L'Union dans son édition du 22 avril 2011 à la rubrique Rethel. La une du journal titrait "Une pierre qui ne laisse pas de marbre"
L'événement n'est pas passé inaperçu, tentons d'en réécrire la genèse.
Une face de la cuve restaurée de Wasigny
Les fonts de l'église de Braux (08) photo base Mérimée/Palissy M. H. sur : www.culture.gouv.fr
L'église Saint-Rémi de Wasigny, rebâtie au XVIe siècle, possédait jadis et jusqu'au début du XXe siècle des fonts baptismaux romans.
En 1903, le conseil de Fabrique décide de vendre la cuve baptismale en pierre de Meuse qui date de la fin du XIIe, début XIIIe siècle. Un particulier, Monsieur Armand Picard, publiciste et passionné par l'histoire locale, s'en rend acquéreur. Il la destine à l'ornement de son jardin pour sa propriété de Wasigny appelée "Marie-Armande".
Mr Picard est co-auteur avec Mrs Albert Baudon et Honoré Duval d'un ouvrage consacré au village de Wasigny : "Le bourg de Wasigny (Ardenne). Ses environs, le bourg, notes historiques, l'église, le château, les seigneurs" 1914 - Matot Braine Editeur. L'ouvrage de 71 pages se termine par un chapitre sur la vie économique à Wasigny de 1793 à 1813 entièrement rédigé par Armand Picard.
En 1903, l'ancien mobilier de l'église est renouvelé, les fonts doivent disparaitre, tout comme les deux anciens autels en bois qui sont remplacés par des autels en pierre. Des fonts plus modernes sont substitués aux anciens.
Dans l'opuscule cité ci-dessus Mr Picard décrit lui-même les fonts qu'il a achetés quelques années plus tôt (page 22-renvoi 3) :
« Ces fonts baptismaux sont en pierre bleu sombre de Givet ou en granit de Belgique et présentent une très grande analogie avec ceux de l'église de Braux (Ardennes). Cuve ronde partagée à l'extérieur, par quatre têtes d'hommes en relief. Entre ces têtes et formant quatre compartiments, courent au-dessous d'une arcade romane, des feuillages, fleurs et ornements fantaisistes, tous différents dans chaque travée. L'un de ces compartiments diffère en plus des trois autres et représente une sorte de tête de chat couronné. Une ouverture ronde est pratiquée au bas de cette cuve pour l'écoulement des eaux, ce qui laisserait à penser, vu aussi sa largeur, qu'elle servait au baptême par immersion. Lettre de M. Armand Picard du 17 septembre 1913) »
Nous savons désormais que le matériau extrait des carrières de Belgique n'est pas du granit mais un calcaire parfois gélif (voir ici l'article sur la géologie au service de l'art religieux).
Les fonts dans la propriété "Marie-Armande" avant restauration
L'historien d'art bruxellois Jean-Claude Ghislain, bien connu pour ses travaux sur les fonts baptismaux romans en pierre dite de Meuse, s'est inquiété dans les années 1980 du devenir de la cuve exposée aux intempéries, et envahie par la végétation. Il redoutait une dégradation rapide de la pierre déjà bien endommagée à cette époque.
Aussi décide-t-il de prendre contact avec les héritiers de Mr Picard (décédé en 1947) pour tenter un sauvetage. Madame J. Lamy, la nièce du défunt, lui précise tout d'abord que la cuve était déjà brisée lorsque son oncle en fit l'acquisition ; d'ailleurs avant l'achat, le mobilier avait été relégué chez un agriculteur. Les points de fêlure de la cuve étaient vraisemblablement la raison pour laquelle la Fabrique avait décidé de s'en séparer.
Puis elle confie qu'après le décès du propriétaire, plusieurs tentatives de restitution des fonts furent tentés par sa famille, d'autant que les fonts avaient été classés Monument Historique par arrêté du 27 septembre 1937. Les héritiers avaient conscience du péril encouru par l'objet du patrimoine religieux.
Les deux tentatives engagées par les époux Lamy pour envisager un retour dans l'église échouent. Des curés successifs retardent et font avorter le projet, car la présence de deux mobiliers différents pour une même fonction liturgique, celle de conférer le baptême, n'est pas concevable à l'époque.
De même, l'idée de transférer la cuve au musée de Rethel en 1984 est abandonnée pour des raisons liées à la gestion de cet établissement.
La pierre attaquée par les lichens et la mousse
Vers 2008, la propriété "Marie-Armande" est mise en vente par les héritiers de Mr Picard, il devient urgent de sauver la cuve baptismale avant qu'un nouveau propriétaire, peut-être moins sensibilisé aux questions patrimoniales, n'envisage son aliénation.
C'est alors que la synergie de plusieurs intervenants permet enfin d'entrevoir une issue positive au problème de conservation.
Le maire de la commune, Mr Hubert Samyn se montre d'emblée tout à fait favorable à tenter une sauvegarde de ce mobilier exceptionnel pour son ancienneté.
Avec enthousiasme, il réunit rapidement, en mairie, les parties concernées : les héritiers Picard, le responsable de la Commission d'Art Sacré du diocèse et le conservateur de la DRAC en charge des objets classés.
A l'issue de deux rencontres, le projet de restauration est finalisé. Le budget engagé s'élève à 9388€ (dont 1962€ pris en charge par la Région, 3925€ par la DRAC, le solde restant à la charge de la commune).
La DRAC confie les travaux de restauration à une entreprise spécialisée, l'atelier "Le Sciapode" de Compiègne dont les sculpteurs ont exercé leur talent au château de Versailles ou à la cathédrale d'Amiens entre autres.
L'atelier est en charge de trois missions : le transport de la cuve vers l'église, la restauration sur site, la mise en place définitive.
Le responsable de l'atelier a réalisé un compte rendu de l'opération édité dans un opuscule auquel sont empruntés les passages suivants reproduits en italiques.
Le transport
« La cuve baptismale placée dans un jardin est remplie de terre et la végétation l'envahit, aussi herbes folles, que micro-organismes et lierre. La terre est extraite, dérangeant une fourmilière ! . Un portique muni d'un palan est installé, la cuve sanglée est levée, puis posée sur un chariot construit à dessein, l'accès par un véhicule n'est pas possible, ni la sortie directe par la rue. Le véhicule et son équipage descendent le jardin, traversent le jardin voisin, puis l'ancienne forge (débarrassée pour l'occasion), ressortent sur la rue principale, jusqu'au parvis de l'église. »
L'arrivée sur le parvis de l'église (photo Le Sciapode)
La densité de la pierre étant voisine de 2,7 on peut estimer le poids de la cuve à quelques 800 kg
L'état de la cuve
« La surface est très marquée par les micro-organismes, l'aspect est très moucheté. La cuve au passé mouvementée a été restaurée, certes avec des procédés peu orthodoxes, mais qui ont eu le mérite de maintenir son intégrité.
Les têtes des angles sont toutes cassées, de grossières reprises au ciment ont été faites. Celle en meilleur état se situe entre la face 3 aux tiges végétales aux raisins et la 4 aux limbes à terminaisons obliques.
Trois des quatre faces sont cassées, les cassures sont dans le sens de la hauteur, plus ou moins larges selon les faces et partiellement ragréées.
La 1 : mufle cracheur de palmettes, la cassure est assez fine, mais le matériau de collage déborde largement et a un aspect blanchâtre.
La 2 : limbes à terminaisons obliques, cassure fine avec lacunes dans le haut.
La 4 : les palmettes sont ragréées, c'est la face la plus marquée par la colonisation de micro-organismes.
Seule la face 3 : tiges végétales aux raisins, est intacte
Sur le dessus on observe un large ragréage au ciment.
L'intérieur de la cuve est enduit de ciment, des extrémités de tiges métalliques dépassent à peine. »
Les opérations délicates du transport en juillet 2011 (photos Le Sciapode)
Les premiers soins apportés à la pierre malade consistent à éliminer tous les micro-organismes. Le traitement s'effectue au Net'toit, un puissant agent renfermant de l'ammonium quaternaire qui détruit, mousses, lichens, moisissures et algues microscopiques.
Pendant toute la durée de la restauration, le pourtour de la cuve reste sanglé pour éviter l'éclatement des morceaux fissurés et leur dispersion.
Les difficultés rencontrées par l'atelier sont multiples car « la couche de ciment est épaisse et sa suppression n'a pas été une mince affaire. Dans le fond il a fallu la disquer pour limiter les vibrations, puis le ciment est éliminé à la massette et au burin. En purgeant le ciment nous découvrons des plaques de métal fixées à l'aide de tiges filetées autobloquantes incluent profondément dans la pierre et maintenues par des écrous en surface.
Une nouvelle difficulté se présente : arriver à extraire les tiges sans trop endommager la cuve. Dans la pierre dure, le système de cheville est malheureusement très efficace. Il faut percer le long des tiges pour agrandir les trous et pouvoir les extraire. Le but est de remplacer ce système de fixation par un système pérenne, efficace et invisible. Une fine saignée est creusée perpendiculairement à la cassure. Des agrafes en fil d'inox de 3 mm de diamètre sont fichées et collées à l'époxy dans les trous préexistants et incluent dans la saignée. Elles sont ensuite dissimulées par un mortier Arto-pierre (mélange de poudre de pierre et de chaux) pigmenté. Nous rajoutons une huitième agrafe pour maintenir une cassure non "sécurisée".»
photo Le Sciapode
Après avoir laissé le traitement biocide agir plusieurs semaines, le nettoyage des lichens et autres envahisseurs s'effectue à la brosse sur une pierre sèche.
Nettoyée et consolidée, la cuve doit désormais reposer sur un socle solide au design harmonieux. Le conservateur des Monuments Historiques de la DRAC, maître d'œuvre, apporte ses conseils d'expert.
Le support est «constitué d'une base carrée légèrement moulurée dans le haut et de quatre blocs identiques, constitués d'une colonnette appliquée sur un quart de cercle. Il répond à plusieurs critères : une bonne intégration par rapport à l'œuvre pour ne pas choquer, rappeler le socle d'origine en recréant les colonnettes disparues.
La construction en quatre parties a pour but d'indiquer que le socle n'est pas d'origine. Nous n'avons pas choisi de reprendre du calcaire de la Meuse pour le coût de sa mise en œuvre et l'impossibilité de le patiner. Le socle est donc taillé en pierre calcaire mi-dure.»
Mise en place
La pierre de la base, ainsi que la dalle du sol sont percées à la verticale du trou d'écoulement de la cuve pour redonner à l'ensemble sa fonction liturgique, l'eau du baptême pouvant ainsi s'écouler symboliquement dans la terre.
Jadis, on le sait, les fonts baptismaux occupaient toujours un emplacement (parfois avec une chapelle dédiée) au nord des bas-côtés ou à gauche de la nef en entrant, si celle-ci en était dépourvue. Cette disposition rappelait les antiques baptistères construits à l'extérieur des églises sur leur flanc nord ; les catéchumènes s'y rendaient avant le baptême qui, seul, leur permettait ensuite de pénétrer dans la nef pour assister et participer aux offices.
A Wasigny la tradition avait été respectée depuis toujours. Ainsi les fonts installés en 1905 avaient pris place sur le lieu de l'ancien baptistère, dont on voit encore les traces au niveau de l'assise. Les fonts modernes ne pouvant être déplacés, car consacrés, c'est le côté nord du transept qui est «choisi pour la mise en place de la cuve médiévale, côté gauche, de sorte qu'ils soient visibles dès l'entrée dans la nef et que l'on puisse en faire le tour avec une lumière suffisante...»
Et de poursuivre : «La pierre de base est posée sur des calles en plomb, puis les quatre éléments et enfin la cuve.
Toute cette manipulation est effectuée avec un portique équipé d'un palan accroché à un chariot. Il a fallu adapter le haut du socle avec la base de la vasque. Les éclats de celle-ci créaient des décalages trop gênants entre le socle et la vasque. Un joint au sable/chaux pigmenté est fait entre les parties. Le socle est patiné dans le ton de la cuve.»
La cuve baptismale de Wasigny a été étudiée dans le détail par Mr Ghislain (2). Selon lui, elle est l'une des pièces caractéristiques de la production ardennaise, bien qu'elle ait aujourd'hui perdu ses cinq supports d'origine.
Le décor est classique dans cette série, il se répète sur des fonts de plusieurs sites ardennais.
Il se compose de volutes à grandes palmettes, de tiges munies de grappes, d'éventails enroulés dans un médaillon ou du mufle cracheur de tiges feuillues qui étonne tant le visiteur.
Dans son analyse ciblée sur les motifs, l'iconographie et la symbolique, J.Cl. Ghislain indique au sujet de la cuve de Wasigny (2) page 358 T2 :
«Le règne végétal serait une référence à l'Arbre de vie, mais la présence du raisin justifierait l'allusion à la Vigne du Tout-Puissant, c'est-à-dire le Christ ressuscité dispensateur de la vie éternelle. Le mode ornemental adopté à Wasigny l'emporterait cependant sur le langage symbolique initial. La seule coiffure conservée est une mitre, évocation possible de l'Eglise par sa hiérarchie ainsi désignée.»
La Vigne du Tout-Puissant
l'Eglise (coiffure mitrée)
Dans un ouvrage déjà ancien (3) page 330, les fonts de Wasigny sont ainsi décrits par son auteure :
« Wasigny, F., dép. Ardennes, doy. Novion-Porcien, d. Reims, égl. S.-Rémi, fonts conservés dans le jardin de Mr J. Lamy (anciennement de Mr Picard) ; cuve cylindr. seule ancienne, cantonnée de quatre têtes masculines saillantes, de type cylindr., coiffées de petites mitres et portées par des consoles à moulure en talon ; toutes les quatre à demi brisées à la partie supérieure et grossièrement maçonnées ; cuve bordée, en haut et en bas de la frise, d'un bandeau saillant.
Décor :
a) masque central à grandes oreilles arrondies au sommet, crachant à travers une triple bague deux rinceaux symétriques gonflés ; ceux-ci décrivent une courbe pour se redresser et s'épanouir en trois palmettes à trois limbes ; écoinçon orné d'une triple palmette ;
b) deux disques de rinceaux gonflés, liés côte à côte par une bague et enserrant chacun une palmette déployée en éventail à limbes multiples, dont les extrémités s'enroulent en volutes, de part et d'autre d'une bague plus petite ; les trois bagues sont ornées de deux filets enserrant un tore ; dans la bague centrale passe une triple palmette verticale formant axe ;
c) deux rinceaux gonflés s'enroulant en disques opposés et serrés par une bague ; chacun d'eux prend naissance aux angles inférieurs du panneau, en un large pied à trois divisions, et s'épanouit en une double palmette retombée, à trois limbes, et en une grappe de raisins en forme d'éponge, dressée verticalement ; l'axe vertical est marqué par une branche en zigzag passant à travers la bague et donnant naissance à deux grappes en éponge ;
d) faisceau de palmettes à trois limbes, épanouies au centre de rinceaux enroulés en disques opposés et liés par une bague ; au centre, palmette à trois limbes.
- Support primitif : une grosse colonne cantonnée de quatre colonnettes.
Calcaire bleu de Meuse, à patine gris clair. - Très mauvais état de conservation ; nombreuses cassures importantes ; cuve brisée en deux ; fragments perdus. - Haut. cuve 36 cm ; diam. intér. 65 cm ; diam. ext. 81 cm - XIIe siècle. »
Quelques autres exemples à l'iconographie quasi identique :
Photos Le Sciapode
Cernay-les-Reims (51)
Heutrégiville (51) la photo n'est pas inversée!...
Remaucourt (08)
Une pierre qui laisse de marbre
Le sauvetage de la belle cuve de Wasigny ne peut que réjouir tous les passionnés d'art religieux. Malheureusement tous les fonts, comme tant d'autres objets, ne bénéficient pas d'une restauration aussi réussie. C'est notamment le cas de la cuve baptismale en pierre bleue du XIIIe siècle affectée à l'église Saint-Martin de Sapogne-Feuchères (08).
Lorsqu'on fit, pour l'église, l'acquisition de nouveaux fonts dans le style néo-gothique, l'ancienne cuve baptismale fut transportée dans le jardin du presbytère. Après avoir abrité quelque temps l'agence postale, le bâtiment fut transformé en habitation vers 1969. Le curé de l'époque, l'abbé Laurent, repositionna la cuve romane sous le porche de l'église. Puis la municipalité procéda à la vente de l'ancien presbytère. Le nouveau propriétaire des lieux, revendiquant un droit de propriété, récupère et installe la cuve dans son jardin pour en faire ... un bac à fleurs !.(4) Il va sans dire que cette vasque improvisée, déjà fendue comme le révélait la photo prise par JC Ghislain, est en grand danger si elle n'est pas mise rapidement sous abri et débarrassée de sa végétation. Mais qui s'en émouvra et mènera le combat pour sauver cet objet du patrimoine classé Monument Historique par arrêté du 18 avril 1958?...
Les fonts baptismaux romans de Sapogne-Feuchères photographiés par J. C. Ghislain lorsqu'ils avaient été remisés sous le porche de l'église
Photo issue de la base des M.H. Mérimée /Palissy sur : www.culture.gouv.fr
L'exemple de Sapogne-Feuchères n'est pas unique dans les Ardennes. Un autre joyau de l'art roman attend restauration et mise en valeur. C'est le cas de la cuve qui provient de l'ancienne abbaye cistercienne de La Valroy ; elle fut longtemps l'une des pièces phare du musée de Rethel qui l'avait reçue en donation. Mais ce dernier a fermé ses portes peu de temps après la disparition du gardien.
C'est dire que cette belle pièce, au demeurant fort endommagée, n'est plus vue du public depuis longtemps. Elle avait été signalée par Hubert Collin dans l'ouvrage "Champagne" édité aux célèbres éditions du Zodiaque, collection La Nuit des Temps 1981 - page 86, puis étudiée par d'autres auteurs (2).
La cuve baptismale est désormais entreposée dans un bâtiment municipal de la ville de Rethel. Depuis peu une association s'est donnée pour objectif de faire revenir la cuve sur son territoire d'origine et de la montrer au public. Une lueur d'espoir pour tous les amateurs désireux d'admirer l'iconographie unique de ces fonts qui pourraient rejoindre l'église de Saint-Quentin-le-Petit... ou un autre lieu ! car ...
La cuve de La Valroy en l'état actuel
...Il est maintenant grand temps de faire parler la pierre!...
Nota : Les fonts sont désormais bien en place dans l'église de Saint-Quentin-le-Petit!
(1) Atelier Le Sciapode 7, rue Jules du Lac 60200 COMPIEGNE lesciapode@wanadoo.fr Marie-Pierre Lernout et Thierry Lefèvre.
(2) Jean-Claude Ghislain "Les fonts romans en pierres bleues de Belgique et leur diffusion en France aux XIIème et XIIIème siècles" Thèse de doctorat année 2005-2006 4 volumes Université de Liège. Document consultable sur autorisation aux Archives Départementales des Ardennes, de l'Aisne et à la bibliothèque diocésaine de Reims.
(3) La sculpture sur pierre de l'ancien diocèse de liège à l'époque romane. Publication extraordinaire de la société archéologique de Namur par Lisebeth Tollenaere Editions J. Duclot S. A. Gembloux 1957
(4) Voir notre signalisation aimablement reproduite dans la Revue du "Curieux Vouzinois" n° 96 juillet 2014-page 46
JLC
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